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Plus d'explications sur l'iceberg : À la fin de l'atelier, les sous-groupes resituent les idées qui ont émergé par catégorie sur le modèle de l'Icerberg.  Il s'agit d'un temps de méta-analyse où les différents groupes découvrent le travail des autres. Certains groupes ont pu aborder les cartes sous un angle philosophique, d'autres sous l'angle de solutions immédiates. C'est le moment de partager les différentes réflexions.  Le modèle de l'Icerberg est un cadre conceptuel qui permet aux participants de réfléchir de façon systémique aux enjeux du vivant.  La métaphore permet de structurer les idées qui ont émergé pendant l'atelier :  En tant qu'"évènement" : faits, actions à mettre en place, soit la partie émergée de l'iceberg (exemple : mise en place d'indicateurs pour mesurer notre empreinte sur la biodiversité)  En tant que tendances ou modèles mentaux : réflexions qui touchent à nos croyances (exemple : coopérer plutôt que concurrencer)  L'objectif est de faire travailler les participants à la fois sur des actions visibles à mettre en place mais également sur des changements de comportement, pour avoir un panorama complet des retombées de l'atelier.  C'est également le moment propice pour conclure sur le sens de cet atelier en citant par exemple Einstein : "nous ne pouvons pas résoudre nos problèmes avec la même pensée que nous avons utilisée lorsque nous les avons créés", et en invitant les participants à repenser leur rapport au vivant.  Cela peut être par 2 engagements finaux, comme des 1ers pas :  Qu'est-ce que je souhaite mettre en place dans mon quotidien pour me reconnecter au vivant ?  Qu'est-ce que je souhaiterais expérimenter dans mon organisation ?  Puis rappeler que s'ils souhaitent aller plus loin ils peuvent être accompagné par vous si vous proposez une offre d'accompagnement, ou par l'Institut des Futurs souhaitables et ses partenaires.